Coup double pour le port de Sète avec la présence de deux voiliers de renom : l’Hermione (réplique du navire de Lafayette du 18e siècle) et le Shtandart (réplique du trois mâts du tsar russe Pierre Le Grand, du 18e siècle). Ce sera du 27 mars au 2 avril. Le Shtandart passera d'abord quatre jours à La Grande-Motte, du 15 au 18 mars, et il sera visitable.

*** sur escaleasete.com ***

C’est gagné ! La superbe réplique de la frégate de La Fayette, héros de l’indépendance des États-Unis, sera l’invitée d’honneur de la cinquième édition d’Escale à Sète en 2018. Réuni à Rochefort ce samedi 30 avril en matinée, le conseil d’administration de l’association Hermione-La Fayette avait le choix entre deux options pour le prochain grand voyage de la frégate:  les Caraïbes, la Floride et la Louisiane dans le cadre des célébrations du tricentenaire de la création de la Nouvelle Orléans ou une « tournée » méditerranéenne. Malgré un engagement très fort de la ville de la Nouvelle Orléans dans les jours qui ont précédé la décision, c’est la deuxième option qui a été retenue. Ce choix est dû à l’engagement de tous les instants de l’équipage d’Escale à Sète. Dès 2010, alors même que l’Hermione n’était pas encore à l’eau, notre association était déjà candidate pour accueillir ce bateau mythique... […] Lire l’intégralité de l’article

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Le traditionnel carnaval de la Saint Blaise (Sant Blasi) à Pézenas est pour bientôt. L’occasion de se plonger dans les coulisses de cet événement local.

*** sur escapadesroadtrip.com ***

Dans le secret de Saint-Blaise… Ou comment je vous dis -presque- tout sur les coulisses de cette fête ! Je commence cet article assise dans le café dans lequel j’ai pris l’habitude de me rendre assez régulièrement. Mon petit rituel préféré étant de m’y installer après mon tour du marché le samedi.  C’est l’occasion de croiser des connaissances. C’est d’ailleurs à cette occasion, il y a quelque samedi, que Gérard (Gérard Garcia pour les intimes) me demanda d’écrire un article sur les préparatifs de la fête de Saint-Blaise. Ca faisait longtemps que c’était en projet dans un coin de ma tête mais la procrastination peut parfois me coller lourdement aux baskets (la fourbe). Rendez-vous fut donc pris pour assister et participer aux réunions du Collectif Temporadas.. […] Lire l’intégralité de l’article

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Johnny souhaitait que sa démarche et son nom associé au Languedoc contribuent à valoriser tous les vins de la région auprès des consommateurs français mais aussi étranger et que 'l'ensemble de la filière dont la télévision montre les difficultés en profitera ». Il reconnaissait avoir tout ignoré des vins du Languedoc avant : « Jusque-là, en vin je ne connaissais que les Bordeaux… C'est le blanc que je préfère »,  disait Johnny qui partage ce goût avec Eddie Mitchell Johnny.

*** sur francebleu.fr ***

Une cuvée qui a quelque chose de Johnny.... Un vin du château de Saint-Martin-de-Graves à Pézenas (Hérault) porte le nom de "l'idole des jeunes" depuis 2004. "Le terre d'Aumes Johnny Halliday", c'est le nom d'un vin du château Saint-Martin-de-Graves, un domaine viticole de Pézenas appartenant à la famille Santa. Roger Santa, ancien PDG de la société France Boisson a racheté ce domaine en 1999. C'est un ami de longue date d'André Boudou, le père de Læticia Hallyday, et donc beau-père de Johnny. C'est au cours d'un dîner au château que l'idée de créer une "cuvée Johnny Hallyday" est lancée. La premièrebouteille sort en 2004 (en trois couleurs : blanc, rosé, rouge). […] Lire l’intégralité de l’article

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La tielle à la sétoise a été importée de Gaète (région d'Italie centrale) en Italie à Sète par les immigrés italiens au XVIIIe siècle. Adrienne Virduci (1896-1962) fut la première à commercialiser la tielle, à partir de 1937.

*** sur midilibre.fr ***

L 'Indication géographique protégée (IGP) tant attendue espérée l'an prochain. Encore un an de patience avant que sonne l'heure de la reconnaissance ? Ce mardi 12 septembre, dans les locaux de la délégation de Sète de la CCI-Hérault, Christian Dassé, président de l'AGPS (Association pour la promotion de la gastronomie sétoise) et ses confrères - 13 fabricants adhérents, bientôt 14 -, ont présenté la quatrième édition de la Fête de la tielle de Sète. Ils ont aussi formulé un vœu : que le label IGP (Indication géographique protégé) soit apposé sur l‘affiche de l'édition 2018, dans un an, donc. La démarche engagée depuis quatre ans arrive en effet dans sa dernière ligne droite. “On a bien avancé, souligne Christian Dassé. Depuis l'an dernier, nous avons reçu la visite d'une délégation de la commission de l'INAO (Institut national de l'origine de la qualité), chargée des IGP. […] Lire l’intégralité de l’article

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Un événement qui occupe une grande place dans le cœur des habitants, très attachés aux traditions locales, source de retrouvailles dans la joie et la bonne humeur. Le récital du Chevalet suivi de la mort du bœuf, animaux totémiques de Mèze, vient conclure chaque année les autres réjouissances estivales en marge du Corso. 

*** sur midilibre.fr ***

C'est devant un public nombreux, regroupant Mézois et vacanciers, que le récital du chevalet a ouvert la cérémonie de clôture sur l'esplanade. Une place prise d'assaut, du kiosque aux bancs et sur les stands des forains, pour être au plus proche du spectacle folklorique. La mise en bouche digérée, le plat principal pouvait être servi avec l'arrivée tant attendue du bœuf, emmené par Christophe et son équipe, pour sa “mise à mort”.

Face au cornac (meneur du bœuf), le combat a duré cinquante minutes, Lo Biou mangera même des enfants pour ensuite les relâcher. À l'issue de l'affrontement, Christophe a porté l'estocade finale à l'animal totémique de la ville. […] Lire l’intégralité de l’article

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Le Bouclier de la Saint-Louis retourne à la maison après 3 ans d’absence et la victoire du sétois Benjamin Arnau en 2014. Simon Caselli devient donc le vainqueur sétois de la 275e Saint-Louis.

***** sur France 3 régions *****

Simon Caselli grand vainqueur des Joutes de Sète

La finale des Joutes de Sète avait lieu ce lundi 21 août pour la fête de la Saint Louis. Et cette année c’est Sète qui l’emporte après plus de 6h de tournoi. Le local Simon Caselli est le grand vainqueur du tournoi des lourds sans même passer par la finale. La 275ème édition de ces jeux de la St Louis sacre un jouteur de Sète d'à peine 80 kilos. Simon Caselli faisait partie des onze premiers du classement de Ligue 2017. […] Lire l’intégralité sur France 3 Régions

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Patron des pêcheurs et des marins, Saint Pierre est célébré le dernier dimanche de juin. chaque année autour d’un programme chargé : Défilé, messe en musique, cortège, embarquement, dépôt de fleurs. Les porteurs transportent la statue de Saint-Pierre jusqu’à l’église St Jean Baptiste. S’en est suivi une cérémonie accompagnée par l’Harmonie Bédaricienne et le chœur de la paroisse. Puis tous se dirigent vers le port pour embarquer sur le bateau « le Millésime » afin d’assister au lancé de gerbes de fleurs au milieu de l’étang par le maire.

*** sur midilibre.fr ***

Dimanche 25 juin 2017, la traditionnelle fête de la Saint-Pierre a été l'occasion d'honorer cette année encore le Saint patron des pêcheurs, de maintenir les traditions locales rattachées à ce métier et mettre en valeur les coutumes ancestrales des gens de mer. Portée par les jouteurs de la Lance olympique marseillanaise, la statue de Saint Pierre a été transportée en procession de la salle Paul Arnaud jusqu'à l'église Saint Jean-Baptiste où le cortège a été accueilli par le père Yannick Casajus. Il s'en est suivi une cérémonie accompagnée par l'Harmonie Bédaricienne et le chœur de la paroisse. Puis, tous se sont dirigés vers le port pour embarquer sur le bateau le Millésime afin d'assister au lancer de gerbes de fleurs au milieu de l'étang par le maire, Yves Michel; le président de la section conchylicole, Philippe Ortin et le président des anciens marins, Jean Gressier.. […] Lire l’intégralité de l’article

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L’église Saint-Sever édifiée sur les fondations d’une église primitive est placée sous la protection de Saint-Sever, un riche voyageur syrien d’une grande piété qui offrit tous ses biens pour venir en aide au peuple d’Agde, à l’époque des invasions barbares. Cette église abrite un des plus précieux chefs d’œuvre du patrimoine agathois : le Saint-Christ, une sculpture en bois qui représente le Christ sur la croix. Vénéré depuis la fin du XVe siècle, il protège tous les agathois. Le Jeudi Saint, les fidèles le portent en procession. A la tombée du jour, emmenée par la Confrérie du Saint-Christ d’Agde, une procession chemine dans le cœur de ville. Pêcheurs, jouteurs et vignerons participent en tant que porteurs à cette cérémonie séculaire, empreinte de ferveur religieuse, qui réunit de nombreux Agathois.

*** sur herault-tribune.com ***

La traditionnelle procession du Saint-Christ a eu lieu ce jeudi soir. Le cortège a quitté Saint-Sever et s’est élancé dans les ruelles du centre-ville d’Agde, accompagné musicalement par des fifres et le son des tambourins. Le Christ, porté par des agathois volontaires parmi lesquels se trouvait le conseiller municipal Stéphane Hugonnet, précédait les groupes folkloriques et les confréries ainsi que la population qui était équipée de flambeaux. Plusieurs haltes ont ponctué cette procession afin de revenir sur l’histoire du Christ, pendant que la chorale Mélopïa interprétait des chants, notamment le célèbre hymne agathois, la Dagtenco, dans une atmosphère populaire et chaleureuse.. […] Lire l’intégralité de l’article

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C’est au son de ces instruments séculaires que chaque année les habitants de Pézenas, dans l’Hérault, suivent dans les rues de la ville le Poulain, animal totémique symbole de la ville qui fait son apparition à l’approche de Mardi Gras, pour le carnaval.
La légende remonterait à la venue à Pézenas en 1126 du roi Louis VIII, dont la jument serait tombée malade. Soignée par deux consuls de la ville, la bête aurait mis bas un poulain et en remerciements, le roi aurait offert à la cité un poulain de bois. Chaque année donc, neuf hommes portent l’énorme armature de l’équidé géant chevauché par Estieinou et Estieinette représentant Louis XIII et une jeune paysanne.
Depuis le IXe siècle, les hameaux qui ont constitué Pézenas ont choisi le 3 février (jour de la Saint-Blaise, ou Saint-Blasi) pour célébrer la naissance de la cité. Pour la Saint-Blaise, la coutume veut que les hommes descendent dans la rue pour se débarrasser de leurs plus vieilles hardes. Car depuis toujours, la Saint-Blaise est synonyme du passage de l’hiver au printemps et de la vie à la mort. Les "femmes sauvages" lancent l’appel à sant Blasi, saint patron de Pézenas (il parcourt généralement la ville à l’envers sur son âne pour tourner le dos à l’hiver), qui aura la charge de conduire la population vers les Capitols (gardiens), qui détiennent les clefs de la Ville.

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Le Carnaval de Poussan dure 4 jours : dimanche, lundi, Mardi gras et se termine le mercredi des Cendres. Bal costumé, branle de la chemise, danse du chevalet, jugement du paillasse,… des rituels presque immuables. Sans oublier le célèbre cochon rose dont l’origine est issu de l'antiquité : un certain Porcius, vétéran de la VIIème légion romaine, s'installe à Poussan, sur des terres qui lui sont offertes pour sa "retraite". Il y développe un élevage porcin, dont notre cochon rose est le digne descendant.

*** sur thau-infos.fr ***

Tandis que les spectateurs de plus en plus serrés se regroupaient au centre du village et sur le Boulevard Prosper Gervais, Jusqu’à la Rue Marcel Palat les amis du cochon l’entraînaient dans une folle danse, faisant des haltes devant des points stratégiques et faisant virevolter ses 300 kg, avec une facilité déconcertante. Ils n’étaient pourtant pas plus de dix mais ces costauds anciens et nouveaux s’étaient entraînés le dimanche précédent. Car il fallait faire honneur à ce magnifique cochon dont c’était le 21ème anniversaire et d’ailleurs il arborait encore de belles bougies sur sa tête. Depuis de nombreuses années, ses porteurs sont restés fidèles à l’animal totémique. La Peña de Béziers assurait le rythme aussi bien pour ce symbole imposant que pour le groupe .Si le canon à confetti se promenait entre les formations, les enfants montés sur les chars allaient se charger d’en déverser sur les carnavaliers et sur des spectateurs heureux d’être associés à la déambulation. […] Lire l’intégralité de l’article

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