Comme tous les dimanches qui précèdent le jeudi de l'Ascension, les Lodévois célèbrent leur saint patron, Fulcran, évêque du diocèse de Lodève au Xe siècle. Présidée par l’archevêque, la grand-messe réuni les fidèles de tous les villages rattachés à la paroisse Saint-Fulcran en Lodévois, chaque village arborant sa bannière. Après la messe, les reliques traversent la ville avec la foule et notamment les membres de la confrérie des pastaïres et des testaïres du Pays d'Oc. 

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Dimanche 21 mai, après la messe, la foule des fidèles a accompagné la procession. Si sa date varie en fonction de celle l'Ascension, la fête de Saint Fulcran reste un grand moment de communion pour le peuple lodévois qui, pour reprendre les paroles d'un hymne au saint homme, “fidèle à sa foi millénaire”, se retrouve et se rassemble, en l'honneur de “son chef, son pasteur et son père, l'ami des petits et des grands”. Dimanche matin, donc, les fidèles se sont réunis dans une cathédrale comble pour la messe solennelle présidée par le père Gérard Blayac, vicaire général, et animée par le chœur liturgique Les voix de Saint-Fulcran. À l'issue de la cérémonie, le cortège se mettait en place pour la procession à travers les rues de Lodève : “1 kilomètre de parcours, tout juste”, précisait le Père Luis Iñiguez, archiprêtre de la cathédrale et curé de la paroisse Saint-Fulcran en Lodévois. […] Lire l’intégralité de l’article

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Le jour de l’Ascension 719, malgré sa petite taille, l’animal donna l'alerte à l'ensemble du village et parvint à chasser les envahisseurs sarrasins aux portes de la ville. Depuis cette nuit-là, l’âne est devenu le symbole du village et les habitants le célèbrent chaque année à l’Ascension. L’âne représenté par une grande armature recouverte d’une robe bleue, surmontée d’une tête est promené dans les rues au son des musiciens et des danseurs costumés qui commémorent « sinébelet belus » ou sire de la guerre symbolisant la résistance héroïque des habitants de Gignac face aux envahisseurs sarrazins.

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Voilà près de 1300 ans que les Gignacois, échappant à l'invasion sarrasine grâce aux braiments de l'âne Martin, célèbrent à la date anniversaire de l'Ascension, l'animal devenu depuis lors la mascotte de la ville. Pendant 5 jours, les Gignacois perpétuent la tradition, du sénibelet, spectacle commémorant la résistance héroïque des habitants face à l'envahisseur, aux festivités plus conviviales qui réunissent familles et amis autour d'un pan d'histoire perpétué au fil des ans de génération en génération. […] Lire l’intégralité de l’article

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La ville du Crès organisait sa 16e édition de la Fête Médiévale, manifestation familiale ouverte à tous, le dimanche 21 mai. Chevaliers, gentes dames, herboristes, fauconnerie, tournoi des Galants, combats, marché médiéval… Une foule d'animations attendaient petits et grands pour cet événement festif et convivial en plein air.

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Une belle journée pour les médiévales. Le Dimanche 21 mai, le Parc Robert a pris des allures moyenâgeuses. Rien ne fut laissé au hasard pour émerveiller les visiteurs. Décoration des abords, déguisements, animations musicales… tout était réuni pour faire un bond dans le moyen âge le temps d’une journée. Près de 1500 personnes ont arpenté les allées du marché médiéval installé à l’ombre des grands chênes, en quête de bonnes affaires. Pour les plus jeunes, une kyrielle d’activités leur étaient proposées par les Chevaliers des 4 vents et les différentes structures d'animation. Le Crès en Fête, quant à lui n'a pas failli à sa mission d'intendance et a assuré couverts et boissons tout au long de la journée. Rendez-vous pris pour 2018 !  […] Lire l’intégralité de l’article

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La fête de Saint Marc se perpétue depuis la nuit des temps ! Elle renvoie aux processions des « rouguesoun », les rogations qui bénissaient les récoltes menacées au printemps. La confrérie des vignerons de Saint Marc de Villeneuve est la plus ancienne connue : elle remonte au XIe siècle. Son but : célébrer le culte de Saint Marc, choisi comme patron des vignerons de Villeneuve. Les confrères avaient pour mission de surveiller la croissance et la bonne santé des vignes par des prières et des processions pour demander la pluie, le soleil ou une bonne récolte. La fête de Saint Marc, célébrée le 25 avril.

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C’est une tradition : chaque année, la confrérie de Saint-Marc honore son saint-patron et le vin à travers une fête traditionnelle à Villeneuve. Comme chaque année, le défilé traditionnel, avec chevaux, attelages, musiciens provençaux et danseuses, a battu le pavé samedi en fin d’après-midi dans les rues du centre-ville avant d’aller rejoindre la vigne de Saint-Marc dans la plaine de l’Abbaye. […] Lire l’intégralité de l’article

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L’église Saint-Sever édifiée sur les fondations d’une église primitive est placée sous la protection de Saint-Sever, un riche voyageur syrien d’une grande piété qui offrit tous ses biens pour venir en aide au peuple d’Agde, à l’époque des invasions barbares. Cette église abrite un des plus précieux chefs d’œuvre du patrimoine agathois : le Saint-Christ, une sculpture en bois qui représente le Christ sur la croix. Vénéré depuis la fin du XVe siècle, il protège tous les agathois. Le Jeudi Saint, les fidèles le portent en procession. A la tombée du jour, emmenée par la Confrérie du Saint-Christ d’Agde, une procession chemine dans le cœur de ville. Pêcheurs, jouteurs et vignerons participent en tant que porteurs à cette cérémonie séculaire, empreinte de ferveur religieuse, qui réunit de nombreux Agathois.

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La traditionnelle procession du Saint-Christ a eu lieu ce jeudi soir. Le cortège a quitté Saint-Sever et s’est élancé dans les ruelles du centre-ville d’Agde, accompagné musicalement par des fifres et le son des tambourins. Le Christ, porté par des agathois volontaires parmi lesquels se trouvait le conseiller municipal Stéphane Hugonnet, précédait les groupes folkloriques et les confréries ainsi que la population qui était équipée de flambeaux. Plusieurs haltes ont ponctué cette procession afin de revenir sur l’histoire du Christ, pendant que la chorale Mélopïa interprétait des chants, notamment le célèbre hymne agathois, la Dagtenco, dans une atmosphère populaire et chaleureuse.. […] Lire l’intégralité de l’article

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Une journée de fête dédiée à la gastronomie méridionale durant laquelle toutes les saveurs et produits de la méditerranée sont revisités et mis en fêtes. Au programme : marché de la mer, vente à la criée, dégustation des producteurs locaux. Mais surtout à ne pas manquer : ces  « locaux » qui cuisinent en public, sur la plage, la tête au soleil et les pieds dans l’eau. Le concept : le temps d’une journée, au milieu du marché et des étals des producteurs locaux dressés pour l’occasion, des figures du Grau du Roi, sortent de leurs cuisines et préparent en public leur meilleure recette traditionnelle et revisitée. Pour relever le tout on plante un décor résolument typique : les fourneaux éphémères sont installés sur la plage qui borde le port de pêche, au pied du phare, face à la mer.

*** sur objectifgard.com ***

Pour la 7eme année consécutive, samedi 8 avril 2017, le Grau du Roi Port Camargue  organise ses « Graulinades » : une journée de fête dédiée à la gastronomie méridionale durant laquelle toutes les saveurs et produits de la méditerranée sont revisités et mis en fêtes. Au programme : marché de la mer, vente à la criée, dégustation des producteurs locaux. Mais surtout à ne pas manquer : ces « locaux » qui cuisinent en public, sur la plage, la tête au soleil et les pieds dans l'eau. Une fête gastronomique pimentée cette année par la présence du Chef étoilé  gardois Jérôme Nutile. Le concept : le temps d'une journée, au milieu du marché et des étals des producteurs locaux dressés pour l'occasion, des figures du Grau du Roi, sortent de leurs cuisines et préparent en public leur meilleure recette traditionnelle et revisitée. Pour relever le tout on plante un décor résolument typique : les fourneaux éphémères sont installés sur la plage qui borde le port de pêche, au pied du phare, face à la mer.. […] Lire l’intégralité de l’article

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C’est au son de ces instruments séculaires que chaque année les habitants de Pézenas, dans l’Hérault, suivent dans les rues de la ville le Poulain, animal totémique symbole de la ville qui fait son apparition à l’approche de Mardi Gras, pour le carnaval.
La légende remonterait à la venue à Pézenas en 1126 du roi Louis VIII, dont la jument serait tombée malade. Soignée par deux consuls de la ville, la bête aurait mis bas un poulain et en remerciements, le roi aurait offert à la cité un poulain de bois. Chaque année donc, neuf hommes portent l’énorme armature de l’équidé géant chevauché par Estieinou et Estieinette représentant Louis XIII et une jeune paysanne.
Depuis le IXe siècle, les hameaux qui ont constitué Pézenas ont choisi le 3 février (jour de la Saint-Blaise, ou Saint-Blasi) pour célébrer la naissance de la cité. Pour la Saint-Blaise, la coutume veut que les hommes descendent dans la rue pour se débarrasser de leurs plus vieilles hardes. Car depuis toujours, la Saint-Blaise est synonyme du passage de l’hiver au printemps et de la vie à la mort. Les "femmes sauvages" lancent l’appel à sant Blasi, saint patron de Pézenas (il parcourt généralement la ville à l’envers sur son âne pour tourner le dos à l’hiver), qui aura la charge de conduire la population vers les Capitols (gardiens), qui détiennent les clefs de la Ville.

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Le Carnaval de Poussan dure 4 jours : dimanche, lundi, Mardi gras et se termine le mercredi des Cendres. Bal costumé, branle de la chemise, danse du chevalet, jugement du paillasse,… des rituels presque immuables. Sans oublier le célèbre cochon rose dont l’origine est issu de l'antiquité : un certain Porcius, vétéran de la VIIème légion romaine, s'installe à Poussan, sur des terres qui lui sont offertes pour sa "retraite". Il y développe un élevage porcin, dont notre cochon rose est le digne descendant.

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Tandis que les spectateurs de plus en plus serrés se regroupaient au centre du village et sur le Boulevard Prosper Gervais, Jusqu’à la Rue Marcel Palat les amis du cochon l’entraînaient dans une folle danse, faisant des haltes devant des points stratégiques et faisant virevolter ses 300 kg, avec une facilité déconcertante. Ils n’étaient pourtant pas plus de dix mais ces costauds anciens et nouveaux s’étaient entraînés le dimanche précédent. Car il fallait faire honneur à ce magnifique cochon dont c’était le 21ème anniversaire et d’ailleurs il arborait encore de belles bougies sur sa tête. Depuis de nombreuses années, ses porteurs sont restés fidèles à l’animal totémique. La Peña de Béziers assurait le rythme aussi bien pour ce symbole imposant que pour le groupe .Si le canon à confetti se promenait entre les formations, les enfants montés sur les chars allaient se charger d’en déverser sur les carnavaliers et sur des spectateurs heureux d’être associés à la déambulation. […] Lire l’intégralité de l’article

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Les Pailhasses commémorent depuis 1346 cette tradition séculaire. Chaque mercredi des Cendres (lendemain de Mardi gras) une embrouille entre Cournonterral (les pailhasses) et Aumelas (vêtus de blanc) par une manifestation publique sous forme de cache-cache dans les rues du village! La légende dit qu'elle célèbre la victoire en 1346 de Cournonterral sur Aumelas (village voisin) à propos d'une histoire de bois. Trois protagonistes participent à cette tradition : les pailhasses, les blancs, les sales. Les pailhasses, (représentant Cournonterral) pourchassent les blancs (représentant Aumelas) afin de les rouler dans la lie de vin. Les sales participent au carnaval de plusieurs manières : aider les pailhasses dans leur tâche (décrocher les peilhas, signaler les blancs ou les gens aux fenêtres…), animer le village en jouant de la musique, accompagner « la relève » afin de transmettre les usages aux plus jeunes, distribuer à boire et à manger comme « les carrioles » (sales poussant un chariot rempli de biscuits et d'alcool permettant à chacun de reprendre des forces).

*** sur midilibre.fr ***

C 'est le mercredi des cendres, soit dans sept semaines et demie, qu'aura lieu l'événement le plus attendu de l'année à Cournonterral, Les Pailhasses et son carnaval. Mais la tradition veut que cette période, qui précède le grand jour, soit marquée d'actes et d'événements festifs réguliers, qui rentrent dans la préparation de ce carnaval. Le premier acte a eu lieu dimanche 8 janvier, jour de l'Épiphanie. Comme chaque année, les pépettes ont été présentées aux Cournonterralaises et aux Cournonterralais, avant d'être pendues au balcon de la mairie, où elles vont résider jusqu'au carnaval, avant d'être jugées en place publique. La population était en nombre, à attendre, en ce froid matin d'hiver, leur arrivée.. […] Lire l’intégralité de l’article

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